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Cinq activités sans écran pour occuper ses enfants en voiture

Au fil des kilomètres, les enfants s’impatientent et se tournent bien souvent vers leurs gadgets électroniques pour tenter tant bien que mal de passer le temps pendant ces longs trajets estivaux. On vous présente quelques alternatives pour éviter de les exposer trop longtemps aux écrans numériques.

« Quand est-ce qu’on arrive ? », tous les parents redoutent cette fameuse question posée depuis des générations. Le trajet est sans doute la partie la moins reluisante des vacances. Pour mettre à profit ces quelques heures dans l’habitacle, on vous liste cinq idées d’activités pour occuper les enfants pendant ces longues heures sans pour autant faire exploser leur temps d’écran.

1/ Un jeu de cartes avec des défis adaptés

La route des vacances peut être très (trop ?) longue… Cela vous aidera peut-être de savoir que vous n’êtes pas les seuls à la subir chaque année. Au point qu’une équipe s’est penchée sur la question et a créé un « kit de survie ».

Des kits de survie, la start-up Parent Épuisé en a conçu plusieurs, un pour chaque situation présentant un risque de surmenage pour les parents : l’anniversaire, l’apéro, la sortie au resto… Celui consacré aux trajets en voiture, depuis repensé pour tous les voyages, fut le premier.

Si le terme « survie » vous paraît exagéré, ce jeu de cartes pourraient pourtant bien sauver votre trajet ou du moins changer les idées de toute la famille. L’objectif : à chaque carte son gage en rapport avec le voyage. Une carte illustrée d’une valise instaure par exemple l’incontournable « Dans ma valise il y a… ».

Si certains gages sont bien connus des familles, le kit de Parent Épuisé permet de les alterner et de prolonger le temps de jeu. Ces règles se mêlent aussi à des nouveautés (la carte illustrée d’un bob nécessite de commencer toutes les phrases par « Bob » jusqu’à la fin du jeu tandis que celle avec un cheval demande d’inventer un nom d’animal hors du commun et de le décrire) et des défis plus éducatifs comme réciter une poésie ou citer sept couleurs différentes.

2/ Le « Go Pop »

Si votre enfant ne vous en a pas encore réclamer un, cela ne devriez pas tarder. Vous pouvez même investir à l’avance car ce nouveau gadget coloré pourrait bien sauver votre trajet.

Connu sous diverses appellations dont « Pop It », « Go Pop » et « Bubble Pop », cette plaque colorée en silicone se compose de petites bulles qui s’enfoncent lorsqu’on appuie dessus. En bref, c’est un simulacre de papier à bulles réutilisable à l’infini.

Comme son équivalent jetable, le jouet permet d’occuper les mains et de se détendre, une action des plus appréciables lorsque l’on passe plusieurs heures bloqué en voiture.

Le « Go Pop » permet aussi de se lancer un défi : écraser toutes les bulles le plus rapidement possible.

 

 

3/ Une mallette à dessin

Votre enfant adore dessiner et faire du coloriage, au point qu’il s’y adonne pendant des heures ? Malheureusement les trajets en voiture rendent cette activité presque impossible : l’enfant n’a aucun support sur lequel s’appuyer, il peut faire tomber feutres et crayons, et se retrouvent dans l’impossibilité de les ramasser alors qu’il est attaché.

Certains parents ont pourtant trouvé l’astuce qui permet de concilier voiture et dessin : transformer une boîte Tupperware en mallette de coloriage. Choisissez pour cela un modèle avec un couvercle qui reste attaché. Placez une petite réserve de feuilles blanches au dos du couvercle et le matérielle du côté plus profond.

Aucune boîte dans vos placards ne fait l’affaire ? Vous pouvez vous procurer le modèle développé par Maped qui contient tout le nécessaire pour dessiner : une ardoise effaçable, des feutres, des stickers repositionnables et un chiffon.

4/ Des histoires à écouter…

Autre activité pour le moins compromise en voiture : la lecture. Certaines personnes ne parviennent pas à lire et subissent le mal des transports dès qu’il finisse une page. Pourtant, tout ce temps passé sur les routes serait parfait pour se plonger dans de belles histoires.

Si votre cœur est trop sensible pour lire en voiture, vous pouvez toujours les écouter. Avec l’émergence des podcasts ces dernières années, de nombreux programmes jeunesse se sont développés dont la série « Oli » de France Inter ou la plateforme « Alma Studio » créée par le DJ Martin Solveig.

Vous pouvez les écouter en famille sur l’autoradio de la voiture si vous avez la possibilité d’y connecter votre téléphone ou l’enfant peut les écouter seul avec un casque auditif adapté.

5/ … et des histoires à inventer

Enfin, les plus imaginatifs pourront essayer de conter leurs propres histoires. Comme point de départ, vous pouvez investir dans un jeu de dés adapté : chaque face contient un symbole qu’il faudra intégrer dans votre récit tel qu’une armure de chevalier, un dragon ou un bateau pirate. Lancez tous les dés en même temps, souvent au nombre de neuf, et composez votre histoire avec tous les éléments obtenus. Pour la voiture, vous pouvez placer les dés dans une boîte ou un gobelet avec couvercle transparent pour ne pas risquer d’en perdre un : il vous suffira de secouer le contenu pour faire votre lancer de dés.

Les parents comme les enfants pourront se laisser tenter par cette activité et pourquoi pas se faire passer les dés pour construire tous ensemble une longue épopée.

Source : ledauphine.com

26 juillet 2021par Julie Arfi
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Sécurité routière : « On a tendance à encourager les comportements à risque » chez les garçons

Pour le chercheur Florent Varet, « la conduite à risque des hommes peut s’expliquer par le rôle clé de l’éducation parentale et de la socialisation au risque, différenciée chez les filles et chez les garçons ».

 A l’heure de la parité, les violations du code de la route, qui fête cette semaine son 100e anniversaire, reste un secteur largement dominé par les hommes, notamment surreprésentés dans les accidents mortels, note pour l’AFP le chercheur Florent Varet.

Spécialiste des liens entre auteurs d’infractions et constructions sociales, l’expert de l’université catholique de Lille explique que les garçons sont, dès l’enfance, encouragés à avoir « des comportements à risques ».

Les hommes conduisent-ils plus dangereusement que les femmes ?

« Au niveau mondial, près de trois fois plus d’hommes que de femmes meurent sur la route. La conduite à risque des hommes peut s’expliquer par le rôle clé de l’éducation parentale et de la socialisation au risque, qui est différenciée chez les filles et chez les garçons. Pour ces derniers, on a tendance à encourager les comportements à risques.

Un autre vecteur important est la diffusion et la réception des contenus des médias de masse (télévision, cinéma, séries). Dans la série de films « Fast and Furious » par exemple, on présente des héros masculins, musclés et virils et le public opère une association entre ces personnages et la prise de risque au volant.

Le respect de la règle et la prudence sont des caractéristiques qui renvoient davantage à la féminité.

Aucune femme n’adopterait de comportement dangereux au volant ?

Il y a une différenciation à faire entre ce qui relève du sexe biologique et de la construction sociale de la masculinité ou de la féminité.

On peut prédire les comportements à risque sur la route, indépendamment du sexe biologique des individus, en fonction de leur expression de genre : masculine ou féminine. Des travaux montrent que dans les classes sociales privilégiées, les femmes conductrices auraient un profil et un comportement qui se rapproche de celui des hommes, et la différence entre auteurs et autrices d’infractions serait moins marquée.

On va associer la masculinité à la performance, à la réussite sociale et à la domination, ce sont aussi des marqueurs associés aux classes sociales les plus élevées.

Le fait pour une femme d’accéder à cette classe peut la rapprocher des caractéristiques et des comportements inhérents à la masculinité. On retrouve cela dans l’étude d’autres comportements à risques, au-delà de la conduite automobile.

Les messages de prévention adressés à la population vous semblent-ils adaptés à la réalité des profils des morts sur la route ?

Je n’ai pas le sentiment que ces messages se basent toujours sur les connaissances scientifiques dont on dispose. Une démarche qui consisterait à tester l’efficacité des messages fait défaut et de nombreux spots de prévention consistent à jouer sur l’appel à la peur.

On capitalise sur la crainte de la mort, de la blessure ou de la perte d’un proche mais ce n’est pas toujours efficace: le public peut développer des mécanismes de défense qui se traduisent par un rejet du message, un déni et une minimisation de l’impact des comportements à risque.

Utiliser l’appel à la peur requiert d’expliquer aux gens qu’ils sont en mesure de changer leurs comportements, c’est ce qu’on appelle le sentiment d’efficacité personnelle en psychologie. L’idéal serait d’avoir des messages ciblant à la fois la population générale et le public plus spécifique des victimes de la route, sans tomber dans une stigmatisation des jeunes. »

Propos recueillis par Thomas GROPALLO

Source : midilibre.fr

Crédit photo : Girt ragelis / Shutterstock

26 juillet 2021par Julie Arfi
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Départ en vacances : pourquoi les couples se disputent en voiture ?

L’heure des départs en vacances a sonné. Et selon une étude Ifop, dans les couples, ce sont les hommes qui prennent le plus le volant et les disputes sont souvent au rendez-vous.

Les GPS ont certainement arrangé les choses mais les disputes au sein de la voiture son toujours de mise. Et encore plus quand il fait chaud et que les enfants en ont assez du voyage. Alors que les vacances débutent pour certains, l’Ifop vient de sortir une étude qui nous en apprend plus sur les raisons de la montée de température au sein de l’habitacle.

On se dispute en voiture, mais pourquoi ?

Selon une étude Ifop* pour le courtier automobile Caroom réalisée au mois de juin 2021, près de la moitié des personnes en couple (54 %) se disputent en voiture, que les trajets soient quotidiens ou longs. Mais dans le détail, pour 31 % de personnes, ces disputes sont en fait assez rares, quand elles sont presque habituelles pour 6 % d’entre elles.

Les couples se disputent souvent pour ces raisons : le style de conduite des partenaires (47 %), l’itinéraire (37 %) et la vitesse (28 %).

Qui conduit le plus ?

Et en matière de trajets, l’inégalité homme-femmes règne.

Lorsqu’ils prennent la voiture à deux, hommes et femmes en couple ne se partagent jamais le volant de manière équitable.

78 % des hommes en couple avec une femme conduisent lors des trajets à deux en voiture, contre 15 % seulement des femmes, et ce quel que soit le type de trajet, alors que les deux ont le permis.

Pendant les longs voyages familiaux, même constat : 47 % des hommes conduisent, contre 9 % des femmes.

Et même lorsqu’il s’agit d’acheter un véhicule, les hommes ont le dernier mot, même si les mœurs évoluent : en 1990, les femmes étaient 62 % à consulter leur entourage masculin avant de passer à l’achat, contre 44 % en 2021.

Mais si seulement 15 % des femmes décidaient de l’achat de la voiture en 1994, elles sont 45 % à faire cette démarche elles-mêmes aujourd’hui.

78 % des hommes en couple avec une femme conduisent lors des trajets à deux en voiture selon une étude Ifop pour Caroom. (©Voyagerix-stock.adobe.com)

Les idées reçues

La moitié des Français pensent que ce sont les hommes qui ont le plus d’accidents en voiture, et seulement 6 % sont persuadés que ce sont les femmes.

Pour 28 % d’hommes, les femmes conduisent mieux que les hommes, quand 8 % sont convaincus qu’elles conduisent moins bien.

Source : actu.fr

20 juillet 2021par Julie Arfi
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Cinq vraies raisons de rouler électrique que personne n’ose avouer…

Si vous avez l’âme écoresponsable sensible, ne lisez pas cet article.

« Tu comprends, on ne peut plus continuer comme ça, la voiture thermique c’est le mal. Je roule en électrique, car je suis un citoyen écoresponsable investi d’une mission, celle de sauver la planète. »

Hum, ouais bon d’accord, admettons (et reconnaissons que le trait est un peu forcé).

Admettons que l’écologie et l’amour des petits oiseaux soient la principale motivation de passage à l’électromobilité. C’est probablement le cas pour certains, quoique l’on puisse toujours chipoter sur la véritable vertu environnementale de ce mode de déplacement, ce que nombre de détracteurs ne se privent pas de faire.

Mais on ne va pas se mentir, la sauvegarde de l’environnement n’est certainement pas la seule raison pour laquelle nombre d’automobilistes franchissent le pas de l’électrique. Il est même possible que pour d’aucuns, ce soit le cadet de leurs soucis. Ne riez pas, j’en connais, j’ai les noms.

Il est donc temps de dévoiler ici la liste pas toujours très glorieuse des 5 raisons cachées – mais réelles – d’acheter une voiture électrique. Je vous préviens, ça va tirer à balles réelles sur le greenwashing.

1. Une voiture électrique, c’est silencieux

À part certains modèles conçus dans la Silicon Valley et dont l’assemblage hasardeux et l’isolation très « légère » font qu’à plus de 90 km/h sur mauvais revêtement ils sont aussi, voire plus bruyants qu’une bonne berline à essence équivalente (expérience vécue), il est vrai qu’une voiture électrique est généralement silencieuse en ville pour les autres, voire inaudible à basse vitesse (merci l’AVAS). Et comme le bruit est probablement l’une des pires pollutions pour l’homme et pour certaines espèces animales, cette qualité est un avantage fort. Un point pour l’écologie, même si à la base c’est surtout un souci de confort.

2. Une voiture électrique c’est performant

Je vous vois venir, tout le monde n’a pas envie de descendre le 0-100 en deux secondes tous les jours pour aller à Franprix ni de vendre la moitié de son corps pour acheter un Taycan Turbo S ou une Model S Plaid. Il n’en reste pas moins que tout le monde, absolument tout le monde, apprécie « un peu de pêche » même quand il s’agit de conduire une Twizy ou une Mini électrique pour rentrer du boulot ou amener les gosses au sport. L’instantanéité de l’accélération, la réactivité à l’effleurement de la pédale sont des atouts qui non seulement peuvent être gages de sécurité, mais aussi fournisseurs de plaisir, même pour passer de 20 à 40 en ville. Zéro point pour l’écologie.

3. Une voiture électrique, c’est technologique

Les geeks on vous voit. D’ailleurs, les geeks aisés ont fourni les premiers bataillons des clients Tesla, même si depuis, la clientèle s’est probablement élargie. Si je me réfère à mon entourage, parmi les amateurs d’électrique, qu’ils aient franchi le pas ou pas encore, j’identifie une caractéristique commune absolument immuable et vérifiable dans 100 % des cas : un attrait certain pour la technologie, voire des compétences dans des domaines qui vont bien au-delà du goût pour les écrans tactiles et la conduite autonome. L’électromobilité porte la techno dans son ADN, et ses adeptes adorent conduire des ordinateurs sur roues. Un demi-point pour l’écologie (la techno permet d’optimiser la consommation).

4. Une voiture électrique est moins chère à l’usage

Je laisse les calculs experts aux spécialistes et à votre banquier, mais l’on sait d’une façon générale qu’une voiture électrique revient moins cher en « carburant », qu’elle nécessite moins d’entretien, et que normalement elle résiste mieux à l’usure du temps et du nombre de kilomètres, ce dernier point pouvant cependant être sujet à caution, car on sait que nombre de thermiques peuvent aussi être particulièrement endurantes. Du coup, l’être humain étant ce qu’il est, l’argument économique pèse certainement très lourd dans la balance quand arrive le moment de faire un choix. Un demi-point pour l’écologie grâce à la durabilité potentielle.

5. Une voiture électrique c’est plein de bonnes subventions bien juteuses

Et oui, l’être humain étant ce qu’il est, etc. (voir ci-dessus), pouvoir acheter une voiture avec l’aide de l’état constitue une opportunité qui ne se rate pas. Bien monté, entre le bonus écologique, l’aide à la conversion, les aides régionales et les primes ZFE, un dossier d’achat pour une électrique peut faire baisser son tarif initial jusqu’à… 19 000 euros, ce qui n’est pas rien par les temps qui courent. C’est pas cher, c’est l’état qui paie. Zéro point pour l’écologie.

Il y a certainement d’autres vraies bonnes raisons qui alimenteraient ce petit inventaire à la Prévert (pré vert ?) du greenwashing, je vous fais confiance pour compléter dans les commentaires.

Source : www.automobile-propre.com

15 juillet 2021par Manuele Maniez
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