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Suzuki électrisera sa gamme à partir de 2025

Suzuki se prépare à lancer cinq modèles 100 % électriques sur le marché Européen d’ici à 2030, dont une version « zéro émission » du Jimny. La nouvelle Swift attendue en 2024 restera hybride. Pour L’argus, Stéphane Magnin, patron de Suzuki France, évoque le virage pris par le constructeur japonais.

 

A compter de 2025, Suzuki va sauter dans le grand bain de l’électrification. A l’occasion d’une interview exclusive pour L’argus, Stéphane Magnin, patron de Suzuki France, évoque le nouveau plan stratégique de la marque jusqu’à 2030. Il permettra au constructeur japonais de s’aligner sur les objectifs de neutralité carbone de ces principaux marchés, soit 2050 en ce qui concerne l’Europe. La firme nippone s’apprête à lancer cinq modèles 100 % électrique dont les silhouettes ont été dévoilées. Leur lancement coïncidera avec le remplacement des modèles de la gamme actuelle selon Stéphane Magnin. A la fin de la décennie, 80 % du catalogue de la marque sur le Vieux Continent sera tout électrique, les 20 % restants seront des hybrides.

Les citadines et SUV comme fers de lance

Presque forcé, comme tous les constructeurs, à prendre le chemin de l’électrification, Suzuki lancera son offensive en Europe au premier trimestre 2025 avec la version de série du concept eVX. Ce SUV sera produit en Inde et se positionnera au sommet du segment B avec ses 4,30 m de long, pile la dimension du S-Cross qu’il devrait remplacer. Une chose est sûre, le constructeur ne fera pas de concessions sur la transmission 4×4 dont la technologie n’est pas encore connue.

 Les changements réglementaires européens ont fait couler beaucoup d’encre chez nous

Spécialiste de 4×4, Suzuki l’est aussi en matière de petites citadines. L’Europe aura droit à une version modifiée d’une « Kei car » à batterie annoncée pour le Japon. La silhouette diffusée laisse penser à un retour en France du Wagon R qui pourrait prendre la suite de l’Ignis en entrée de gamme. Comme le confirme Stéphane Magnin, la marque jouera la carte de l’électrique accessible, à l’image de Dacia et sa Spring, en misant sur une conception de véhicule léger grâce à des moteurs et batteries moins lourdes. En un mot : la bonne autonomie au juste prix. Au lieu d’installer des kilos de batteries, les ingénieurs nippons se penchent sur le rendement et la consommation en énergie du moteur électrique. Suzuki a ainsi signé un partenariat avec Inmotive qui a mis au point une boîte de vitesses à 2 rapports alors que la quasi-majorité des voitures électriques actuelles disposent d’un rapport unique.

 

Un Jimny électrique au programme

Le Jimny va passer au tout électrique, probablement sur une nouvelle plate-forme.

 

Et le Jimny ? Le petit tout-terrain, dont la quatrième et actuelle génération fut lancée en 2018, n’est plus proposé en Europe qu’en version utilitaire biplace en raison de ses émissions de CO2 trop importantes. Une hybridation (à l’occasion du restylage en 2024) fait l’objet de rumeurs, mais rien n’a été confirmé de ce côté-là. La prochaine génération du baroudeur de poche passera donc au « zéro émission » pour faire son retour sur le marché européen des véhicules particuliers. Considéré comme un pilier de la gamme, il reposera sur une toute nouvelle plate-forme et sera évidemment proposé en version quatre roues motrices. Selon nos informations, les cinq modèles esquissés comprennent le Wagon R, le Jimny (uniquement en 3 portes en Europe), le Vitara, le S-Cross ainsi que le Grand Vitara au sommet de la gamme qui fera son retour en Europe.

Si on veut rester en Europe et faire du volume, il nous faut des voitures électriques

La stratégie de Suzuki au-delà de l’électrique

Suzuki veut rester fidèle à son positionnement et à ses modèles phares.

Chez Suzuki, l’arrivée tardive dans le domaine de l’électrification n’est pas considérée comme un retard. Bien au contraire, Stéphane Magnin y voit là une opportunité d’acquérir l’expérience des autres constructeurs. En plus de cela, la marque s’appuiera dès 2025 sur son usine de batterie en Inde pour réduire au maximum les coûts et proposer des véhicules attractifs. En ce qui concerne le best-seller, la Swift, elle ne figure pas dans ce plan. La raison est simple : la prochaine génération de Swift, prévue pour 2024, restera fidèle à l’hybride. En revanche, sa remplaçante sera proposée en 100 % électrique dixit Stéphane Magnin. En partenarait avec Toyota, Suzuki prévoit également de lancer un petit utilitaire électrique, mais uniquement pour le Japon.

 

L’avantage d’arrivée dans les derniers, c’est d’avoir l’expérience des autres

Fort d’une année 2022 record au cours de laquelle ses ventes ont crû de quelque 7 % pour frôler les 3 millions d’unités dans le monde, Suzuki investira l’équivalent de 32 milliards d’euros sur sept ans pour réduire ses émissions de CO2. Le lancement de modèles électriques s’accompagnera d’une décarbonation de la production et de recherches sur des énergies alternatives, telles que de nouveaux carburants en collaboration avec Toyota, Daihatsu et Subaru.

Source : http://largus.fr

11 septembre 2023par Julie Arfi
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L’essai auto. Suzuki S-Cross : la voiture sans souci

Le rapport au travail a, paraît-il, changé. Ben, le rapport à la voiture aussi, figure-toi, tu t’en rends compte, non ? L’électrification à marche forcée, les malus rédhibitoires pour les voitures qui pédalent un tant soit peu… Tout est fait, semble-t-il, pour que la voiture devienne une contrainte, souvent nécessaire pour assurer ses déplacements, alors qu’il était convenu que ce devait être, aussi, un plaisir.

Une donnée qui a dû échapper aux algorithmes des constructeurs, et aux esprits de nos chers dirigeants. Résultat, la production actuelle est plan-plan, on met en avant la sobriété, l’équipement, de plus en plus élaboré, dans pas longtemps, elles vont faire le café. Déjà qu’elles conduisent presque toutes seules… Du coup, elles sont de plus en plus chères, et le plaisir qu’elles dispensent, si tant est qu’elles en donnent encore, n’est plus le même.

C’est comme la différence entre un plat surgelé « prêt à manger », que l’on réchauffe au micro-ondes, ou une bonne petite daube mijotée avec amour. Au final, ça nourrit, mais avoue que ce n’est pas la même chose. Ben voilà, aujourd’hui, la voiture, c’est pareil : ça transporte, mais pour le plaisir, à moins d’être fortuné, tu repasseras…

Et ben voilà une voiture qui a tout compris : la Suzuki S-Cross. Le SUV compact japonais redébarque en Europe avec une version hybride. Vraiment hybride, alors que la génération précédente, qui en arborait fièrement le logo, n’en était pas vraiment une, c’était un simple alterno-démarreur, qui envoyait quelques électrons dans les phases de démarrage. Là, Suzuki a été plus loin, la S-Cross a une batterie un peu plus grosse et un vrai moteur électrique, qui peut déplacer la voiture pendant quelques kilomètres, à la seule force des électrons, et venir en soutien du petit moteur thermique.

Côté design, la Japonaise ne fera se relever personne la nuit pour aller la contempler dans le garage. Le genre passe-partout, tu vois, mais l’avantage de ne pas être à la mode, c’est qu’on ne se démode pas. À l’intérieur, pas de fioritures non plus, l’univers est bien rangé et, à défaut d’être glamour, les matériaux sentent le robuste.

 

La voiture sans souci
La voiture sans souci

 

Quant à l’équipement, il y a tout et le reste : des aides à la conduite en veux-tu en voilà, même celles qui tu ne veux pas, caméra de recul et à 360°, je t’en passe et des meilleures. Du coup, il n’y a pas d’options. Une habitude chez les constructeurs asiatiques. Mais ce n’est pas par charité chrétienne (bouddhiste ?), c’est pour des questions de logistique, les voitures sont produites en masse dans les usines orientales et partent irriguer le monde par bateau. Pas de modèle « spécial France », avec des options ciblées, encore moins de sur-mesure, c’est le même menu pour tout le monde !

Sous le capot, donc, un total de 115 CV cumulés. Pas de quoi faire le malin au feu rouge, mais ça le fait plutôt bien, le moteur électrique apporte un petit quelque chose lors des accélérations, qui n’en deviennent pas foudroyantes pour autant, mais elles sont « solides ». Du coup, la conduite est agréable, la boîte robotisée a le bon goût de ne pas faire d’à-coups, en sus d’être assez intelligente pour éviter le recours aux palettes derrière le volant. Le confort est certain, en dépit de quelques bruits de roulement. Rien de grave, fallait bien que je trouve un petit défaut, c’est dans mon contrat. Et au fil des kilomètres, on y prend goût à cette S-Cross.

Parce qu’elle est sans surprise, parce qu’elle répond présent tout le temps, à son volant, on roule sans se poser de question. Bon, pour le plaisir comme je l’entends, ce n’est pas l’outil idéal. C’est un plaisir différent, celui de rouler sans souci. Parce qu’en plus, elle est réputée extrêmement fiable, pas du genre à tomber en carafe tous les quatre matins…

Source : https://www.nrpyrenees.fr

24 août 2023par Manuele Maniez
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Tests auto. Suzuki Vitara 1,5 Dualjet Hybrid AllGrip : l’art de s’inventer un avenir

Après la mini-hybridation 48 v, le Vitara, pilier de la gamme Suzuki depuis plus de trois décennies passe aux choses « plus sérieuses ». Le voilà doté du système hybride rechargeable maison plutôt convaincant. L’aventure se poursuit.

Un vrai casse-tête plutôt bien géré en toutes circonstances. Dans sa version Allgrip, le Vitara hybride autorechargeable affiche clairement ses ambitions et relève un drôle de challenge : combiner plaisir de conduite (ça, c’est pour le pilote!), sécurité au volant (ça, c’est pour toute la petite famille) et maîtrise énergétique (ça, c’est un peu pour la planète et beaucoup pour le portefeuille…). Et ce quel que soit le mode de conduite sélectionné.

Incontournable pilier du catalogue Suzuki, le petit SUV ne se contente plus de l’hybridation légère 48V (qui reste disponible avec la boîte manuelle 6 rapports) depuis qu’il a adopté la nouvelle motorisation hybride autorechargeable entièrement conçue et développée par le constructeur. Une marche supplémentaire dans l’électrification programmée, et une offre intéressante pour tous ceux qui ne sont pas prêts (et ils restent nombreux) à rouler complètement branché. Grâce à ce système, on peut évoluer soit en hybride soit en tout électrique (un peu) avec un enjeu : limiter la consommation. Mission globalement accomplie.

Des modes à explorer

Maître à bord, l’utilisateur peut choisir, d’un simple geste entre deux modes hybrides. Le « Standard » favorise un parcours dynamique sollicitant et combinant les deux motorisations. L’ « Eco » joue prioritairement la carte « électrique » dans des conditions d’utilisation plus tranquilles et donc moins énergivores. La boîte de vitesses robotisée, en liaison directe avec le « 24 kW » effectue alors tous ses changements en privilégiant l’économie, autorisant notamment une meilleure récupération de l’énergie en coupant le quatre cylindres et en le désaccouplant de la boîte. L’autonomie électrique est ainsi optimisée.

La transmission AllGrip s’adapte en permanence, en fonction des modes sélectionnés, elle favorise ou non la traction ou la transmission intégrale. À la moindre perte d’adhérence, elle assure le transfert du couple d’un essieu à l’autre grâce à un blocage du différentiel central couplé au système de surveillance électronique de trajectoire. Tout ça n’est pas toujours perceptible au volant, mais sur la route, oui ! Les modes «snow » (pour les pires conditions)et « lock » (qui verrouille en 4×4 jusqu’à 60 km/h) sont réservés aux passages « extrêmes ». En « Auto » ou en « Sport » on encourage, toujours dans un souci de sobriété, la priorité aux deux roues motrices.

Pour illuminer le voyage

Très généreux même si l’on s’en tient à l’entrée de gamme « Avantage » ( régulateur de vitesse adaptatif, freinage actif d’urgence, aide au maintien dans la voie et système de reconnaissance des panneaux…), le Vitara hybride « grimpe », dès le deuxième niveau de finition, avec en plus, le dispositif de détection de présence dans l’angle mort, l’alerte de trafic en marche arrière et le système multimédia avec écran tactile de 7 pouces et connectivité Apple CarPlay et Android Auto. En passant au « Style », on bénéficie des radars de stationnement avant et arrière, du système de navigation, de la très belle sellerie microfibres et cuir synthétique mais surtout du toit ouvrant panoramique qui illumine l’habitacle et les voyages.

Très facile et même agréable à utiliser en ville ou sa maniabilité digère toutes les situations sans aucune hésitation, le Vitara n’est peut-être pas le plus dynamique et le plus performant de la catégorie (même si son poids limité lui permet de bien « bouger ») , mais brille par un comportement sûr et sain. Il s’accommode sans discuter des revêtements glissants ou en mauvais état. À la demande, et lors d’accélérations plus franches, la machine électrique vient discrètement épauler le 16 soupapes pour un coup de pouce bienvenu . Toujours là après tant d’années de services, bons et loyaux, dit-on pour les meilleurs élèves, le Vitara avec ce judicieux « coup de jus » s’invente un nouvel avenir.

Source : https://www.ladepeche.fr

17 août 2023par Manuele Maniez
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Le Suzuki eVX électrique surpris pour la première fois en pleine phase de test

On ne distingue pas encore tous ses détails, mais le futur premier modèle 100 % électrique de Suzuki arpente tout de même les routes du globe pour peaufiner sa mise au point.

© automobile-magazine.fr

Suzuki prend son temps pour l’électrification de sa gamme. Si tous les modèles sont désormais à minima gréés de moteurs à hybridation légère, il aura fallu attendre l’année dernière pour voir arriver les premiers hybrides simples « maison » sur les Vitara et S-Cross. Avant ça, Suzuki pouvait compter sur les Swace et Across, des Toyota

Un look bien à lui

Côté silhouette déjà, on a affaire à un capot plat ainsi qu’un avant et un arrière très verticaux. La lunette arrière inclinée n’est pour sa part pas sans rappeler un autre modèle de la gamme Suzuki, le microscopique Ignis. Si l’épais camouflage cache habilement les détails de pare-chocs, on peut tout de même voir que la calandre semble fine et pleine, avec une imposante pièce de carrosserie en forme de X au milieu de la face avant, permettant notamment de fixer la plaque d’immatriculation. Impossible de parler des optiques pour l’instant, car elles ne semblent pas finalisées, mais on peut toutefois imaginer que les feux seront reliés par un bandeau noir courant sur toute la largeur du hayon comme sur le S-Cross, voire par une barre de LED comme sur le concept car.

 

Le profil interpelle avec des arches de roues très marquées en raison d’un renfoncement dans la carrosserie. De même, les portières semblent particulièrement creusées ce qui fait ressortir les ailes avant et arrière, autant que les bas de caisse dont la forme n’est pas sans rappeler des airbumps sur certaines Citroën. La trappe de recharge enfin, est située à l’avant gauche comme sur le concept eVX. Globalement, le modèle de série devrait donc assez largement de l’étude de style et il reste quelques mois avant la présentation officielle pour le découvrir.

Une batterie de 60 kWh

Sans s’attarder sur les spécifications techniques de son crossover, Suzuki évoquait déjà une batterie de 60 kWh et une longueur de 4,30 m lors de la révélation du concept en janvier dernier. Ce ne sont évidemment pas des chiffres définitifs mais ils donnent une bonne indication de comment se placera l’eVX de série face à la concurrence. De même, la transmission intégrale chère à la marque serait vraisemblablement de la partie sur la version de production, mais il reste à savoir quelle technologie sera utilisée. Le plus simple serait évidemment d’utiliser deux moteurs électriques, un par essieu, afin que chaque moteur entraine une paire de roues et que les deux moteurs se synchronisent via une gestion électronique. Mais il pourrait aussi être question d’un seul moteur électrique et d’une vraie transmission intégrale, ce qui supposerait en revanche une architecture compliquée puisqu’il faudrait laisser la place à un tunnel de transmission au milieu du châssis, ce qui aurait immanquablement pour effet de scinder la batterie en deux partie et donc de compliquer le système de refroidissement et de préconditionnement de cette dernière.


Le concept car du Suzuki eVX.© Suzuki

Source : autombile-magazine.fr 

20 juillet 2023par Julie Arfi
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