Lorsque le moment est venu de faire le plein, vous êtes-vous déjà demandé de quel côté se trouvait votre trappe à carburant ? Voici une astuce infaillible pour s’en rappeler !
Les voitures sont toutes très différentes : certaines ont la trappe à carburant du côté gauche, d’autres du côté droit. Pire encore, certains modèles possèdent même une trappe située à l’avant de la voiture : c’est par exemple le cas de l’Alpine A110, ou encore des Porsche. Vous l’aurez compris, chaque constructeur dispose de sa propre logique. Mais avec l’habitude, vous vous rappelez probablement de quel côté se trouve la trappe de votre voiture.
De quel côté se trouve la trappe à carburant : la réponse est sous vos yeux !
La difficulté se présente lorsque vous conduisez un autre véhicule que l’on vous a prêté, ou durant vos vacances ou déplacements professionnels, avec une voiture de location : cette question revient alors toujours au moment de faire le plein à la station service. Vous avez sûrement déjà vu cet automobiliste choisir la pompe du mauvais côté, et devoir tirer le tuyau jusqu’à la trappe située du côté opposé. Bien sûr, vous ne voulez pas vous mettre en difficulté à votre tour… Alors, est-elle à gauche ou à droite ?
Inutile de sortir votre tête par la fenêtre et de vous contorsionner pour avoir la réponse : elle se situe simplement sous vos yeux ! En effet, toutes les voitures du marché possèdent une jauge à essence, située au sein du combiné d’instrumentation, juste devant vous. En effet, celle-ci est accompagnée du pictogramme d’une pompe à essence, complété d’un petit triangle : c’est tout simplement une flèche qui vous indique de quel côté se trouve la trappe !
Et si la flèche ne figure pas sur votre voiture, pas de panique : il vous suffira alors d’observer de quel côté se trouve le pistolet sur le pictogramme « pompe à essence », et le tour est joué… Cette astuce est aussi valable pour les véhicules électriques.
Quel est le point commun entre l’essuie-glace, le clignotant ou le rétroviseur ? Tous ces accessoires qui équipent nos autos, et auxquels on ne prête presque plus attention, sont le fruit de l’imagination de femmes. On vous présente ces inventrices de génie.
L’automobile fait partie de ces inventions dont l’utilisation quotidienne nous ferait presque oublier qu’elle est le fruit d’une multitude d’innovations réunies.
L’essuie-glace
Mary Anderson est à l’origine d’un accessoire dont il est aujourd’hui impensable de se passer : l’essuie-glace ! Cette éleveuse et viticultrice met au point son concept en 1902 et obtient son brevet un an plus tard. Elle a eu l’idée de ce système en observant un conducteur contraint de s’arrêter à plusieurs reprises pour chasser la boue et la neige fondue de son pare-brise. De nombreuses solutions avaient été tentées auparavant, mais Mary Anderson a produit le premier modèle fonctionnel utilisant un levier qui actionnait un bras à ressort pour se déplacer d’avant en arrière sur le pare-brise. Un dispositif actionné depuis l’intérieur du véhicule. Son invention restera brevetée pendant 17 ans… sans succès ! Ce n’est qu’après son passage dans le domaine public qu’il sera adapté en série. Dès 1922, Cadillac s’empare de l’idée et l’installe sur toutes ses voitures. Entretemps, en 1917, Charlotte Bridgwood aura trouvé la solution pour électrifier le dispositif.
Les garnitures de frein
Bertha Benz est la première femme à s’être lancée dans un voyage longue distance en voiture. Un matin du mois d’août 1888, elle part pour un trajet de 106 km entre Mannheim et Pforzheim, en Allemagne, avec le tricycle motorisé de son mari : Karl Benz. Lui qui était convaincu que son invention n’était pas prête pour prendre la route va être étonné… Au cours de son épopée, Bertha tombe en panne d’essence. Elle achète alors de la ligroïne (solvant à base de pétrole) dans une pharmacie de Wiesloch – aujourd’hui considérée comme la première station-service de l’histoire. Pour faire refroidir le moteur, qui surchauffe, elle utilise l’eau des fossés et des ruisseaux. Et, lorsqu’une conduite de carburant se bouche, elle la nettoie avec son épingle à chapeau. Elle a même utilisé sa jarretière comme matériau d’isolation et payé un cordonnier pour recouvrir les sabots de frein de cuir, inventant ainsi la première garniture de frein au monde.
Les clignotants et le feu stop
Encore une invention que l’on doit à une femme ! En 1917, Florence Lawrence a l’idée de faire construire un « bras de signalisation automatique » à bord de son véhicule. Un mécanisme que « la première star de cinéma » actionne à l’aide d’un levier derrière le volant. Il permettait de lever ou d’abaisser un drapeau sur le pare-chocs arrière de la voiture afin d’indiquer aux autres conducteurs le sens dans lequel la voiture allait tourner. Le clignotant était né ! Lawrence a également conçu un signal de freinage rudimentaire qui fonctionnait sur le même principe : lorsqu’un conducteur appuyait sur les freins, un panneau STOP s’élevait sur le pare-chocs arrière.
Le chauffage en voiture
Margaret Wilcox, née en 1838, est ingénieur en mécanique. Le 28 novembre 1893, cette Américaine a breveté le premier chauffage de voiture en détournant la chaleur du moteur vers l’habitacle. Son invention avait alors deux atouts majeurs : permettre la conduite par temps brumeux et glacial en limitant la buée sur les vitres, mais aussi offrir du confort aux occupants. Il a pourtant fallu des décennies avant que les constructeurs automobiles ne se rallient à son idée, considérée comme une option de luxe, même lorsque les carrosseries se sont entièrement fermées et les vitres, répandues. Ce n’est qu’en 1929 que Ford s’est décidé à proposer cet équipement en série sur sa Model A. Cette innovation s’accompagne d’un autre tournant majeur puisque Margaret a breveté son invention en son nom propre et non en celui de son mari !
Le rétroviseur intérieur
À en croire plusieurs sources, Dorothy Levitt n’a pas seulement marqué l’histoire de son nom par ses records de vitesse. En 1905, elle a atteint 146 km/h à bord d’une Napier K5-L48. Parmi ses autres faits d’arme, la jeune femme aurait été la première à réclamer l’installation d’un miroir pour contrôler les arrières de son véhicule. C’est en tout cas ce dont elle fait part, en 1911, dans son livre La Femme et l’automobile. Elle y mentionne le miroir de courtoisie pour des raisons non seulement esthétiques, mais également de sécurité. Une invention qui ne sera introduite par les fabricants qu’en 1914.
La ligne blanche
Aussi simple soit le concept, il fallait y penser ! En 1917, June McCaroll fait une sortie de route à bord de sa Ford T à cause d’un camion. Après cet accident, l’infirmière imagine une ligne blanche centrale pour partager la route en deux. Au début, son idée ne fait pas l’unanimité. Qu’à cela ne tienne. Elle peint une ligne sur un boulevard californien (Indio). En 1924, la Californie est le premier État à imposer des lignes médianes sur ses routes, faisant ainsi de lui un pionnier de la réglementation automobile.
Le système de guidage par satellite (GPS)
Si Gladys Mae West n’est pas à l’origine du GPS, elle a grandement contribué à son développement. Le travail de cette mathématicienne a été crucial dans le développement du système de navigation et la mesure des données satellites. Elle a notamment participé à la modélisation mathématique de la forme de la Terre et à l’élaboration des modèles de géodésie par satellite qui ont finalement été intégrés au système de géolocalisation par satellite (GPS).
Le nouveau barème des indemnités kilométriques des impôts pour 2021 vient d’être publié au Journal officiel.
Si le barème pour les véhicules thermiques n’évolue pas par rapport à 2020, la version 2021 arbore une nouveauté qui va réjouir les électromobilistes.
Jusqu’à présent, le surcoût pour l’achat d’un véhicule électrique n’entrait pas dans le calcul du barème. Mais c’est maintenant chose faite. Le gouvernement français a décidé d’opter pour une majoration simple du prix au kilomètre des véhicules électriques. La majoration ainsi applicable est de 20 %.
Par exemple, pour une voiture thermique de 4 CV effectuant moins de 5 000 km par an pour des déplacements professionnels, le barème indique 0,523 € du kilomètre. Dans les mêmes conditions, une voiture électrique de 4 CV, telle que la Corsa-e ou la Renault Zoé, est majorée de 20 % soit 0,628 € par kilomètre. Le gouvernement à finalement tenu compte de la particularité des voitures électriques.
Voici ci-dessous le barème kilométrique applicable pour les voitures électriques en 2021.
Le plus vieux patron automobile au monde, Osamu Suzuki, quitte ses fonctions de président du conseil d’administration à l’âge de 91 ans. Il dirigeait la marque depuis plus de quatre décennies.
Suzukiest un des rares constructeurs à diversifier ses activités tout en gardant une grande indépendance. Automobile, moto, marine, le géant japonais est dirigé depuis la fin des années 70 par Osamu Suzuki, né Matsuda, mais ayant pris le nom de famille de sa femme… petite fille du fondateur de Suzuki, Michio Suzuki.
Cette marque, c’est aussi une identité solide fondée sur des années, et sur un marché domestique tourné vers les petites voitures, ces fameuses Kei Cars. Suzuki a par ailleurs connu un fort succès en Asie et en Orient avec notamment l’Inde (Maruti). Aujourd’hui, le constructeur a le vent en poupe en Europe avec une offre bien ancrée dans l’air du temps, constituée de modèles très fiables et efficients.