Depuis sa création en 1968, le symbole universel d’accessibilité est utilisé pour définir tous les handicaps physiques. Des marqueurs que l’on retrouve aujourd’hui sur tous les parkings et qui méritent d’être augmentés selon la bonne idée de Decathlon Canada qui a décidé de leur ajouter une dimension sportive.
Une de valeurs fortes défendues par l’entreprise Decathlon est l’inclusivité dans le milieu sportif, reposant sur l’acceptation de tous quelle que soit sa situation. Dans sa dernière campagne intitulée Symboles du possible et réalisée en collaboration avec l’agence de communication Rethink, Decathlon a souhaité changer notre regard vis-à-vis des personnes en situation de handicap pour qu’elles ne soient pas réduites à ce simple fait.
De cette façon, le logo traditionnel représentant une personne en fauteuil roulant s’exerce dans diverses activités sportives telles que le rugby, le basket-ball, le tir à l’arc ou le tennis comme vous pourrez le découvrir dans la vidéo ci-dessous. Ces disciplines n’ont pas été choisies au hasard car elles représentent celles pratiquées par l’équipe canadienne aux Jeux Paralympiques de Tokyo 2020.
Ces nouveaux symboles seront prochainement visibles sur les parkings de l’ensemble des magasins de la chaîne au Canada. Et pour donner à cette initiative la visibilité qu’elle mérite, le site abilitysigns.ca propose 18 logos sportifs créés sur-mesure afin que tout le monde puisse se les approprier.
Une opération marketing qui mélange créativité et inclusion pour porter un message fédérateur autour des valeurs du sport. C’est intelligent et même si ce n’est pas la première fois que le sigle du handicap est détourné de manière sportive, son implémentation physique sur des parkings d’une grande chaîne est une excellente initiative qui mérite de perdurer dans le temps.
Décathlon Canada détourne le symbole du handicap de ses parkings de manière sportive
VIGNETTE CRIT’AIR – Comment marche le nouveau certificat qualité de l’air ? Etes-vous concerné ? Où se le procurer ? Quels sont les risques d’amendes ? Toutes les précisions.
En 2017, la vignette automobile et la pastille verte avaient engendré un nouveau rejeton. Quatre ans plus tard, le Certificat Crit’Air à coller sur le pare-brise, est destiné à distinguer les véhicules les plus propres et les plus récents (électriques, mais aussi essence, voire diesel récents) des voitures et motos anciennes, jugées plus polluantes. Ce sont ces macarons qui permettent – ou non – de rentrer dans le coeur de l’agglomération parisienne à partir du 1er juin 2021.
Prix et achat
Le certificat qualité de l’air est disponible depuis le 1er juillet 2016, sur internet (inutile, donc, de vous précipiter chez votre buraliste). Il faut s’acquitter de 3,62 euros pour l’obtenir (frais de port inclus) depuis le 1er mars 2018. Auparavant, le prix était de 4,18 euros. La pastille sera valable plusieurs années, il ne s’agit donc pas d’une nouvelle vignette annuelle, telle que la France l’a connue de 1956 à 2000.
Après votre achat sur le site www.certificat-air.gouv.fr, le macaron vous sera envoyé par la poste. Pour acquérir la vignette, il convient de vous munir de votre carte grise.
Sachez qu’il est désormais possible d’acquérir le certificat par simple courrier, hors internet. Pour cela, il convient de remplir un formulaire de demande spécifique et à envoyer à l’adresse suivante :
SERVICE DE DELIVRANCE DES CERTIFICATS QUALITE DE L’AIR
BP 50 637
59506 DOUAI CEDEX
Attention aux arnaques ! Un site allemand vous propose ainsi l’achat de votre vignette pour la modique somme de 19,85 euros… Si le macaron envoyé au final est bien légal, vous pourrez sans doute vous passer du surcoût.
Catégories
Pour catégoriser le parc automobile, le ministère de l’Ecologie a créé un barème fondé sur les normes Euro. Six types de pastilles différents pourront être collés sur les pare-brise. A l’origine, l’Etat avait annoncé un système basé sur six macarons différents avant de revenir à quatre. Les détails de la nouvelle nomenclature ont été officiellement révélés le 21 juin 2016 :
Vignettes 2016
Pastille verte et blanche : Crit’Air
Véhicules zéro émission 100 % électrique ou hydrogène
=> Cette vignette peut s’apposer sur les véhicules les plus propres disponibles aujourd’hui sur le marché. Ex : Renault Zoé, Toyota Mirai…
Pastille mauve : Crit’Air 1
Véhicules essence ou hybride répondant aux normes Euro 5 et Euro 6 (à partir du 1e janvier 2011)
=> Cette pastille concerne principalement les modèles essence récents, sans distinction de puissance ou d’émissions. Ex : Renault Clio 4 essence 2012, Volkswagen Golf GTI 2013…
Pastille jaunes : Crit’Air 2
Véhicules essence ou hybride répondant aux normes Euro 4 (du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2010)
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 5 et Euro 6 (à partir du 1er janvier 2011)
=> Cette pastille correspond aux véhicules essence de moins de 10 ans ou aux moteurs diesel récents. Ex : Citroën C2 1.4-litre essence 2007, Renault Mégane 3 2.0-litres diesel 2013…
Pastille orange : Crit’Air 3
Véhicules essence ou hybride répondant aux normes Euro 2 et Euro 3 (du 1er janvier 1997 au 31 décembre 2005).
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 4 (du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2010).
=> Cette catégorie est réservée aux véhicules essence relativement anciens et aux diesel d’âge moyen. Ex : Peugeot 207 1.6-litre diesel 2008, Renault Twingo 1 1.2-litre 1998…
Pastille marron : Crit’Air 4
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 3 (du 1er janvier 2001 au 31 décembre 2005).
=> Cette pastille est réservée aux diesel âgés de plus de 10 ans. Ex : Peugeot 206 HDI 2003, Renault Mégane 2 1,5 dCi 105 2005…
Pastille grise : Crit’Air 5
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 2 (du 1er janvier 1997 au 31 décembre 2000).
=> La pastille des diesels de la fin des années 1990 pourrait faire partie des plus fréquemment pénalisées. Ex : Peugeot 406 2.1 TD 1999, Citroën Xsara 1.9 1998…
Non éligibles à l’obtention d’une pastille Crit’Air :
Tous les véhicules essence et diesel immatriculés avant le 31 décembre 1996, catalysés ou non.
=> Cette catégorie regroupe les voitures les plus anciennes et les véhicules de collection. Ex : Peugeot 205 1.8 D 1993, Volkswagen Golf GTI 1989, Jaguar Type-E 1963…
Le nouveau certificat qualité de l’air permet aux collectivités locales de prendre des mesures spécifiques. Par exemple, une municipalité peut décider de réserver des places de stationnement aux véhicules équipés de la vignette verte et blanche. Ou encore d’autoriser la circulation des véhicules les plus propres lors d’un pic de pollution (remplaçant ou suppléant l’actuel système des plaques paires et impaires). Ce système est nommé « Circulation différenciée »
Maires ou préfets pourront également mettre en place des mesures plus impopulaires chez les automobilistes. Ainsi, la classification ouvre la porte à des « zones de circulation restreinte » désormais baptisée « zone à faible émission » (ZFE). Une commune peut ainsi envisager d’interdire l’accès à un centre-ville, provisoirement ou définitivement, aux véhicules qui ne sont pas équipés de certains macarons. C’est notamment le cas à Paris, qui restreint l’accès à l’intérieur de l’autoroute A86 aux diesel d’avant 2006 à partir du 1er juin 2021.
Amendes
Lorsque les décrets d’applications seront adoptés, d’ici mars, vous risquerez une amende si votre véhicule ne possède pas de pastilles ou s’il est considéré comme trop polluant pour circuler. Le montant de cette amende est fixé à 68 euros. Elle est considérée comme une contravention de troisième classe, soit :
Dans sa définition, la nouvelle pastille est plus une carotte qu’un bâton. L’objectif est plus d’encourager l’achat de véhicules à faibles émissions ou récents que de pénaliser les voitures aux émissions les plus fortes. Contrairement à ce qui avait été envisagé dans un premier temps, à l’été 2015, les véhicules les plus polluants ne sont pas mis à l’index. Les catégories 4, 5 et 6, qui devaient regrouper les « gros fumeurs » ont ainsi été supprimées dans la version définitive du projet.
D’autre part, en se basant sur les normes Euro, le gouvernement a privilégié la lisibilité… aux dépens de la propreté. Les seuls critères pris en compte sont le type de carburant et la date de fabrication. Ainsi, des véhicules objectivement polluants sont classés parmi les plus propres, à condition d’être relativement récents (par exemple, un Porsche Cayenne et une Toyota Prius peuvent cohabiter dans la même catégorie). En revanche, Ségolène Royal, alors ministre de l’Ecologie, avait clairement tranché en faveur du moteur essence par rapport au moteur diesel. Les niveaux Crit’Air et Crit’Air 1 sont réservés aux non-diesel, tandis que les catégories Crit’Air 4 et 5 sont réservées aux moteurs fonctionnant au gazole.
De plus en plus répandues, les voitures hybrides ne cachent pas toutes la même technologie et ne permettent pas la même chose au quotidien. Voici ce qu’il faut principalement retenir entre ces deux modes d’électrification.
Dans le contexte actuel, vous réfléchissez peut-être au remplacement de votre voiture par un modèle hybride. Mais dans ce cas, deux options s’offrent à vous : l’hybride ou l’hybride rechargeable. Sachez qu’il n’y a pas de mauvais choix, mais que plusieurs paramètres sont à prendre en compte pour faire l’achat le plus malin possible, car ces deux technologies n’offrent pas les mêmes prestations au quotidien.
Avantages et inconvénients des voitures hybrides
Les voitures hybrides possèdent une batterie de petite taille et par conséquent de petite capacité, autour de 1,5 kWh. De fait, elles n’ont pas toujours la puissance et la capacité nécessaires pour entrainer le poids de la voiture sur une grande distance. Même si vous conduisez avec un œuf sous le pied, n’espérez pas faire plus de quelques centaines de mètres d’affilée en électrique, au mieux 3 à 4 km avec la batterie complètement pleine. Renault, avec sa technologie E-Tech non-rechargeable et sa batterie assez puissante, s’en sort mieux que d’autres et offre la possibilité d’atteindre 50 km/h en électrique même en appuyant un peu plus fort sur l’accélérateur, mais cela ne dure pas bien longtemps.
En revanche, pas besoin de brancher une voiture hybride, la batterie se rechargeant seule lors des phases de freinages ou en pompant un peu d’énergie du moteur thermique pour maintenir le niveau de charge. Plus simple, cette technologie est aussi beaucoup moins chère à l’achat, bien qu’elle ne soit pas éligible au bonus de 1 000 € offert par l’Etat. Sans compter que la petite batterie n’empiète pas, ou pas trop, sur les volumes de chargement de la voiture, notamment le plancher de coffre.
Avantages et inconvénients des voitures hybrides rechargeables
Les voitures hybrides rechargeables embarquent des batteries de capacité bien plus conséquentes, souvent entre 10 et 20 kWh. Des “piles” qui ont donc la puissance nécessaire pour entrainer facilement les roues sans aide du moteur thermique. En ville, sur route ou sur autoroute – en général à 110 km/h maxi -, il est ainsi possible de parcourir plusieurs dizaines de kilomètres. Comptez entre 30 et 60 km selon votre conduite, votre parcours et la voiture que vous possédez. Pour peu que vous puissiez brancher votre voiture chez vous ou sur votre lieu de travail et que vos trajets du quotidien n’excèdent pas 40 km, il est possible de ne pas dépenser la moindre goutte d’essence de la semaine. A la clé, de belles économies de carburant.
En contrepartie, une voiture hybride rechargeable nécessite d’être rechargée le plus souvent possible pour être pertinente. Si la présence du moteur thermique empêche la panne, il ne faut pas se laisser aller à la facilité et rouler batterie vide, car les consommations d’essence ont vite fait de s’envoler, du fait d’un poids très souvent élevé de la voiture, avec un surpoids entre 200 et 300 kg. Par ailleurs, les batteries souvent logées dans les planchers de coffre grignotent parfois le coffre. Enfin, la technologie plug-in est beaucoup plus chère. En moyenne, il faut compter entre 7 000 et 8 000 € de plus qu’une version essence 100 % thermique.
Vous souhaitez donner un petit coup de jeune à votre voiture sans forcément passer par la coûteuse case « peinture complète » ? Testez le covering ! Cette nouvelle technologie permet de redonner du peps à une peinture vieillissante ou d’offrir à votre auto un look personnalisé unique. Du covering total, réservé aux professionnels, ou partiel, que vous pouvez faire vous-même, il y en a pour tous les goûts.
Avec le temps, la peinture d’une carrosserie se raye, pâlit, et perd de sa rutilance. Vous aimeriez redonner à votre voiture un petit coup de jeune seulement, une peinture complète coûte en moyenne 3 000 €. L’arrivée de nouvelles technologies, comme le covering, permet heureusement de relooker sa voiture à des coûts plus raisonnables. Il existe un grand nombre d’entreprises de publicité, voire désormais de carrossiers, qui proposent cette technique.
Qu’est-ce que le covering ?
Le covering est un art graphique qui permet d’habiller une carrosserie, en tout ou en partie, d’un film adhésif très fin, pour un coût moins élevé qu’une peinture. Pour un « total covering », à savoir le recouvrement complet de la voiture, l’adhésif est plaqué sur l’ensemble de la carrosserie où il va s’étirer jusqu’à en épouser toutes les formes afin de les personnaliser à volonté. On peut également habiller une simple partie : les rétroviseurs, les portières, les poignées, le capot, etc.
Le film est placé sur la tôle en partant du centre et chauffé à l’aide d’un décapeur thermique (ou d’un sèche-cheveux puissant) pour qu’il devienne malléable. Le film doit épouser les courbures sans faire de plis ni de bullage.
Quels sont les avantages du covering ?
Le « total covering » (l’intégralité de la carrosserie) permet de changer entièrement la couleur d’un véhicule « à la carte » sans passer par la case peinture.
Le covering partiel permet d’ajouter dessins, inscriptions, publicité, en impression numérique, et de les changer selon vos besoins, avec une décoration personnelle et originale, quasiment impossible à réaliser par un atelier de peinture classique. C’est donc un allié incontournable des artisans et des entreprises pour placarder leurs publicités sur des véhicules de fonction qui pourront être revendus sans difficulté une fois défloqués, ainsi que des passionnés de custom et de tuning.
Ce procédé protège en outre la carrosserie en la recouvrant entièrement, ce qui lui épargne la décoloration due aux UV, les petites rayures et les légers impacts des gravillons.
Le plus gros avantage du covering est qu’il s’agit d’un procédé réversible. Comme l’habillage, le « déflocage » de la carrosserie se fait à chaud, à l’aide d’un décapeur thermique. Le film se retire sans aucun résidu de colle en quelques heures, après démontage et remontage des éléments de carrosserie sous lesquels il s’intègre, comme les pare-chocs, la calandre, les coques de rétroviseurs, les protections plastiques des portières, etc.
Attention néanmoins, le déflocage est une opération délicate qui doit être menée avec beaucoup de soin et de patience, que l’on peut faire soi-même mais qu’il est préférable de laisser à des professionnels.
Avec quels types de supports réalise-t-on un covering ?
En fonction du type de covering désiré, il existe différents types de support applicables sur un véhicule. Leur choix dépend de la qualité et de la durabilité attendue en termes de résultats. Par exemple :
Le vinyle polymère teinté dans la masse offre une grande durabilité et une résistance accrue à toute éventuelle déformation.
Le vinyle blanc polymère imprimable permet une impression directe et une plastification.
L’adhésif flexible, disponibles dans de multiples coloris, se présente sous la forme d’un film résistant à l’eau sur une face, et adhésif sur l’autre.
Pour un total covering, il est important de choisir un adhésif haut de gamme puisqu’il devra couvrir 100 % la carrosserie. Le recouvrement doit être suffisamment épais pour une meilleure protection. Sachant que la pose du film nécessite le démontage de la calandre, des pare-chocs, des rétroviseurs, des éléments de protection plastique, etc. afin que le moindre recoin soit convenablement couvert par le film.
On utilise une raclette à vitre pour appliquer le film du centre vers les extrémités en chassant très soigneusement les bulles. Les parties en excédant sont coupées au cutter.
Quels coloris et quels motifs ?
En fonction du type de film, vous avez la possibilité de choisir dans une large palette de coloris de base qui se répartissent entre mat, satiné, ou brillant pour un véhicule totalement unique.
Les motifs sont fonction de votre imagination, jusqu’aux dessins en 2D ou 3D, en reliefs, agréables au toucher, tels qu’on peut les voir sur certains véhicules publicitaires.
Vous pouvez faire vous-même un petit covering sur, par exemple, la poignée des portières ou les rétros pour customiser le véhicule. Il existe sur internet de multiples motifs et dessins pour customiser aisément son véhicule sur de petites surfaces, que vous pourrez appliquer aisément. Néanmoins, si vous optez pour un recouvrement intégral il s’agit là d’un travail de professionnel qui inclut le choix d’une matière de meilleure qualité et une pose délicate.
Que coûte le covering ?
À qualité égale, la pose d’un total covering vous reviendra 30 à 50 % moins cher qu’une peinture. D’une part, le film adhésif est moins onéreux que la peinture, d’autre part la technique nécessite moins d’heures de main-d’œuvre.
Selon que vous passerez par un professionnel ou que vous le fassiez vous-même (pour les petites surfaces), le prix est différent.
Globalement, le coût dépend de :
la taille du véhicule (petite citadine, berline, break, ou utilitaire),
de la surface d’habillage,
du type de film choisi qui peut varier de 50 € à 150 € le mètre linéaire en fonction de sa qualité,
de la complexité du motif.
Par exemple : un covering total, posé par un professionnel coûte en moyenne 2 000 € pour un coloris uniforme contre 3 000 € pour une peinture de base.
Habiller un seul côté d’un véhicule avec un motif complexe nécessitant un véritable travail de graphiste peut coûter jusqu’à 600 €.
Pour un recouvrement total, on compte environ :
citadine trois portes : 1 200 €
berline cinq portes : 1 500 à 2000 €
4×4, dont les formes complexes rendent l’application longue du fait de la préparation : 2 000 à 2 500 €,
Pour un modèle de luxe, par exemple une Ferrari rouge à recouvrir en bleu, l’addition avoisinera les 4 000 €, voire plus en fonction du design.
Quelle est la durée de vie d’un covering ?
La durée de vie d’un covering dépend de la qualité du film utilisé et de la qualité de la pose, sachant qu’un film haut de gamme peut durer jusqu’à dix ans.
Ainsi, une voiture préservée dans un garage couvert voire chauffé aura meilleure allure que celle qui passe sa vie exposée aux intempéries, aux UV et au froid, car les films adhésifs s’abîment de la même façon qu’une peinture d’origine.
Soyons clairs, si la carrosserie est enfoncée, impactée, le covering ne remplacera pas le travail du carrossier.