Les véhicules d’occasion représentent une bonne alternative pour bon nombre de personnes. Ces voitures sont la plupart du temps de qualité et sont moins chères que les voitures neuves. Pour choisir la meilleure automobile, il est conseillé de tenir compte de plusieurs critères essentiels. Découvrez ici quelques conseils pour choisir votre meilleur véhicule d’occasion.
Tenir compte de ses besoins
Le premier critère pour faire le meilleur choix d’un véhicule d’occasion est de prendre en compte vos différents besoins. En effet, avant de vous lancer dans le processus d’achat d’un véhicule, il est recommandé de faire le point de vos envies. Vous devez en amont décider du modèle qui vous conviendrait le plus.
Pour cela, il faut tenir compte du nombre de places, du type du véhicule et de son format. Ainsi, vous pourrez aisément en fonction de vos besoins sélectionner le modèle qui vous convient. Chez Verbaere automobiles, retrouvez de nombreux modèles de véhicules. Par ailleurs, vous devez aussi choisir si vous préférez un modèle électrique, hybride ou à essence.
Fixer un budget maximal
Pour bien choisir son véhicule d’occasion, il faut préalablement définir son budget maximal. Ce budget peut être mensuel ou total. Ainsi, vous saurez combien vous êtes prêt à dépenser pour acquérir votre voiture d’occasion. En procédant de cette manière, vous éviterez de perdre du temps sur des voitures qui sont en dessous de vos attentes ou à contrario sont trop chères pour vous.
De plus, vous devez aussi penser au mode de financement. Vous pouvez opter pour un paiement au comptant, à crédit ou par prêt.
S’informer sur l’historique de l’automobile
Une étape qu’il ne faut pas négliger au cours du choix d’un véhicule d’occasion est la vérification de l’historique. En effet, l’historique vous renseigne sur le vécu de l’automobile. Ainsi, vous aurez des informations sur le nombre d’anciens propriétaires ainsi que la situation administrative du véhicule. Cela vous permettra également d’avoir le certificat d’immatriculation.
En outre, vous devez étudier en détail le contrôle technique qui a été effectué sur le véhicule. De cette manière, vous aurez un état précis du niveau de sécurité de la voiture. Ainsi, vous serez en mesure de prévoir les réparations. Cela pourra vous permettre de négocier légèrement le prix du véhicule. Toutefois, il est important de noter que le contrôle technique ne donne pas d’informations précises sur le niveau d’usure du moteur ou de l’embrayage.
Essayer le véhicule
L’essai routier est l’élément qui vous permettra de faire votre choix. Il est indispensable et primordial. Il n’est pas conseillé d’acheter un véhicule sans l’avoir conduit. En effet, cet essai vous permettra de voir si la voiture tire d’un côté ou d’un autre ou si les freins fonctionnent normalement. En effectuant un créneau, vous pourrez aussi repérer les éventuels défauts de transmission.
Utiliser son téléphone lorsque l’on conduit son véhicule n’est pas une pratique sans risque. Surtout lorsque l’on consulte des contenus ou que l’on envoie ou lit des SMS. La preuve…
D’abord, ce que dit la législation française à propos de l’utilisation en conduisant un véhicule d’un téléphone portable ou de tout autre appareil en fonctionnement doté d’un écran : l’utilisation d’un téléphone portable tenu en main est sanctionnée par une amende forfaitaire de 135 € et un retrait de 3 points du permis de conduire. Le fait de consulter ou manipuler son téléphone est également interdit et est passible des mêmes sanctions. Seuls les kits intégrés dans les voitures ou les casques de motos restent autorisés, tout comme les sonotones.
Dangereuse distraction
Mais le plus problématique est évidemment les dangers potentiels qu’une telle pratique induit, augmentant les risques d’accident de la circulation. La Sécurité routière a ainsi classé la consultation en conduisant d’un appareil doté d’un écran, selon quatre sources de distraction, que voici :
La distraction visuelle : le conducteur quitte la route des yeux
La distraction cognitive : le conducteur se concentre sur la conversation ou sur ce qu’il lit plutôt que sur la route et la conduite
La distraction auditive : le conducteur n’est plus attentif aux bruits extérieurs qui peuvent le prévenir d’un éventuel danger
La distraction physique : le conducteur ne tient plus son volant à deux mains lorsqu’il compose un numéro, envoie un message ou tient son téléphone en main.
Partir en vacances en famille, c’est sympa. Mais il existe quelques conseils à suivre pour que le trajet se passe sans aucun accroc.
Que l’on soit seul, en couple, entre ami ou en famille, partir en vacances est toujours un moment plaisant. Enfin, surtout l’arrivée, car le trajet, c’est parfois plus difficile. Entre les potes qui ne sont pas d’accord sur la musique, le passager qui parle trop ou celui qui sait tout sur tout, le voyage peut alors se transformer en véritable enfer. Et ce n’est rien à côté d’un départ en vacances avec des enfants, qui peut alors devenir une épreuve du feu. Heureusement, il existe quelques astuces pour rendre celui-ci plus agréable, tout en assurant une sécurité optimale pour vos bambins, quel que soit leur âge. Une Fille au Volant vous propose d’en découvrir cinq ci-dessous, afin de faciliter le trajet et éviter les crises de larmes, les disputes et l’ennui. Et vous passer l’envie d’abandonner votre enfant sur le bord de la route.
Préparer des jeux et des divertissements
Avant toute chose, l’idéal est de partir à une heure où votre enfant sera plus à même de s’endormir, par exemple au moment de sa sieste ou le soir. Ainsi, il passera une bonne partie du trajet à roupiller, ce qui devrait rendre le voyage plus calme pour vous, et le faire passer plus vite pour lui. Mais bien souvent, on ne choisit pas le moment où l’on part, du fait de nombreuses contraintes extérieures. Et parfois, votre bambin est en pleine forme, ce qui n’est pas forcément bon signe pour le bon déroulement du voyage. D’où l’importance d’emmener des jeux et autres divertissements, en limitant toutefois le temps d’écran pour ne pas exciter davantage votre bambin. Vous pouvez également opter pour des jeux d’observation ou des devinettes, qui vous occuperont également !
Emmener des provisions
Avant chaque voyage, n’oubliez pas de préparer de quoi grignoter durant le trajet, ainsi que des bouteilles d’eau, afin de vous hydrater convenablement. Emmener à manger a de nombreux avantages lorsque l’on part avec des enfants : faire passer le temps plus vite, mais également pallier aux petites fringales qui rendent parfois grognon les bambins, surtout s’ils s’ennuient déjà. Et puis cela vous permettra également de ne pas perdre de temps à faire la queue sur une aire d’autoroute bondée pour acheter un sandwich triangle ou un steak-frites hors de prix. Une glacière, un en-cas fait maison et pourquoi pas quelques fruits et voilà la clé un trajet réussi ! Mais cela ne doit pas vous dispenser de vous arrêter et de faire des pauses, et le repas est justement l’occasion parfaite de faire un petit pique-nique si le temps le permet !
Anticiper le trajet
Si voyager sans rien prévoir peut-être très sympathique lorsque l’on part seul ou en couple, c’est en revanche une très mauvaise idée lorsque l’on a des enfants. Car n’oubliez pas que les longs trajets en voiture ne sont pas forcément une partie de plaisir pour eux, et il n’y a donc rien de pire que de prolonger celui-ci car vous ne savez pas où aller. Le mieux reste donc de prévoir avec précision votre trajet en utilisant des outils en ligne tels que Waze ou Google Maps, ce qui vous permettra également de mieux anticiper les embouteillages et les difficultés éventuelles. Ainsi, vous prendrez la route de manière plus sereine, vous évitant des coups de stress inutiles. Car c’est bien connu, les enfants ressentent celui-ci, ce qui aura donc pour effet de les rendre encore plus agités, ce qui risque de faire monter l’énervement des deux côtés et d’engendrer une crise difficile à apaiser.
Faites des pauses régulières
Que vous voyagiez seul ou en famille, il est indispensable de faire des pauses de manière régulière, afin de rester concentré et de ne pas céder à la somnolence. Toutes les deux heures au moins, pensez donc à vous arrêter et à sortir de votre voiture pour faire quelques pas et passer aux toilettes si besoin. Ce sera également l’occasion pour votre bambin de se dégourdir les jambes et de se divertir un peu, après avoir passé de longues heures enfermé dans la voiture. Si vous avez un bébé, profitez de la pause pour vérifier sa couche, le nourrir et l’hydrater. Quoi qu’il en soit, ne laissez en aucun cas vos enfants dans la voiture, même si vous ne vous arrêtez que quelques minutes. Outre la chaleur qui augmente considérablement dans l’habitacle, peu importe le niveau d’ensoleillement, les priver de pause risque de les rendre plus irritables et de compliquer le reste du voyage.
Attachez bien vos enfants
Saviez-vous que deux enfants sur trois sont mal retenus en voiture ? Un chiffe très inquiétant lorsque l’on sait que le corps d’un nouveau-né est très fragile, alors que son développement n’est pas encore terminé. Avant toute chose, et quel que soit l’âge de l’enfant, il est indispensable de choisir un siège auto adapté, et de bien le fixer, via une ceinture ou le système Isofix, de plus en plus répandu. Vos bambin doivent quant à eux être attachés en permanence, tandis que le harnais pour les tout-petits doit être parfaitement installé et ne doit pas être détendu. Pensez à retirer le manteau de votre enfant et à vérifier que la ceinture n’est pas vrillée. Enfin, essayer d’installer votre bébé dos à la route le plus tard possible, son dos, plus solide étant alors plus à même d’encaisser les chocs. Certains spécialistes conseillent même de laisser votre enfant dans cette position jusqu’à ses quatre ans si possible.
Choisissez bien vos horaires
Lorsque vous voyagez avec un enfant, il est important de bien choisir l’heure à laquelle vous allez partir. Essayez de faire en sorte que votre trajet se déroule pendant que vos petites têtes blondes dorment, afin de profiter d’un trajet plus tranquille ! Pour cela, il est important de connaître le rythme de sommeil de ces dernières, et d’élaborer votre voyage en fonction. Partir pendant la sieste est alors idéal. De plus, bébé ne verra pas le voyage passer et celui-ci sera bien entamé lorsqu’il se réveillera. Ainsi, il paraîtra moins long et moins désagréable pour lui
Mise en circulation en avril 2020, et achetée aux alentours des 40 000 euros, bonus déduit, la discrète Hyundai Ioniq électrique de notre lecteur cumule déjà 50 000 km. Cet ancien amateur de V8 et V10 reste aujourd’hui séduit par le silence et le confort de la berline coréenne. Il explique pourquoi à Max Freyss.
Le modèle retenu…
Dans la famille des voitures disponibles en hybride, hybride rechargeable et pure électrique, je demande la berline Hyundai Ioniq. Le modèle avec une calandre pleine qui affiche un coefficient de trainée à 0,25 !? Bonne pioche ! Le rafraîchissement intervenu en 2019 est visible au niveau de la signature lumineuse à technologie Full Led à l’avant comme à l’arrière.
Chauffeur poids lourd, Jean-Pierre « aime bien le look de l’avant, mais moins l’arrière », qu’il « trouve un peu haut et carré ». Il accepte toutefois cette présentation, en toute conscience qu’elle joue favorablement sur l’aérodynamisme et l’efficience du véhicule.
Etant assis en hauteur quotidiennement dans son camion, il ne souhaitait pas retrouver cette impression dans une voiture. « Dans ma vie privée, j’aime bien être plus près de la route », a-t-il confirmé à Max Freyss.
D’où l’absence de SUV dans sa sélection finale, même s’il avait au préalable essayé les Kia e-Niro et Hyundai Kona. Et la Tesla Model 3 ? Éliminée pour 2 raisons principales : l’absence de leasing et un coffre moins facile d’accès que derrière le hayon de la Ioniq.
…en finition haut de gamme Executive
Au départ, notre lecteur n’avait pas pensé à la Hyundai Ioniq électrique. C’est en surfant sur Internet, et en particulier en visualisant des vidéos sur Youtube, qu’il a découvert ce modèle, avant de réaliser un essai qui l’a convaincu.
Pour la carrosserie de son exemplaire, il a choisi le bleu intense métallisé proposé alors en option à 630 euros, et qui n’est plus au catalogue 2022. Afin de bénéficier de sièges en cuir électriques, chauffants et ventilés, il a retenu la finition haut de gamme Executive. « Les réglages sont impeccables. J’ai d’abord trouvé l’assise un peu dure, mais une fois qu’on est dedans, ça va », rapporte Jean-Pierre.
Sa berline branchée s’appuie sur les jantes 16 pouces de série en alliage. Seules les modèles hybrides simples pouvaient recevoir une autre dotation : tôle 15 pouces avec enjoliveur en entrée de gamme Intuitive, et 17 pouces pour les 2 finitions suivantes.
En alimentation du moteur synchrone à aimant permanent qui développe une puissance de 100 kW (136 ch), pour un couple de 295 Nm, on trouve une batterie lithium-ion polymère d’une capacité énergétique exploitable de 38,3 kWh, sur un total de 40,4 kWh.
Recharge
L’autonomie annoncée en cycle mixte WLTP dans la brochure du premier semestre 2020 s’élève jusqu’à 311 km. La recharge en courant alternatif s’effectue sur une wallbox domestique, comme chez notre lecteur, ou en exploitant une borne publique au maximum que peut donner le chargeur embarqué 7,2 kW.
« Parcourant 100-150 km quotidiennement, je branche ma voiture toutes les 2 nuits habituellement, les lundis, mercredis et vendredis. Même avec plus que 10 % d’énergie dans la batterie, il me faut environ 5 heures pour effectuer le plein », a-t-il mis en avant.
Dans son document commercial contemporain au véhicule, Hyundai assurait une puissance de ravitaillement en courant continu jusqu’à 100 kW. Vraiment ? « Ca varie entre 40 et 50 kW », modère notre interlocuteur, en se basant sur les bornes qu’il a utilisées à ce jour.
Mesurant 1,75 m, Jean-Pierre a ensuite démontré à Max Freyss que 4 personnes adultes peuvent prendre place à bord de la Hyundai Ioniq électrique avec un espace suffisant aux genoux et à la tête. « C’est l’avantage qu’elle ne soit pas trop basse derrière », a-t-il souligné.
Utilisation
Se rendre au travail, faire les courses, retrouver sa compagne à 40 km de chez lui, ou partir en week-end : Jean-Pierre utilise sa Hyundai Ioniq électrique pour quasiment tous ses besoins en déplacements. « Pour les vacances, je la prends aussi si ce n’est pas trop loin. Je me méfie encore un peu. Sur 200 ou 300 km, ça va. Mais je n’aimerais pas trop voir ce que ça donne sur 800 ou 1 000 km », complète-t-il.
« Avant, j’avais une bonne voiture pour les week-ends, comme ma précédente Audi S8, et une voiture un peu pourrie pour aller au travail. Maintenant, je n’ai plus que la Ioniq. Elle fait très bien le boulot. Pour tous les jours, elle est impeccable », témoigne-t-il.
Ce passionné de grosses mécaniques, ancien possesseur d’une Chevrolet Corvette, contredit en cela Pierre de la chaîne Youtube Vilebrequin qui assure que passer à l’électrique oblige à faire +1 sur le parc automobile du foyer. Jean-Pierre, lui, a fait -1. C’est le prix des carburants, à l’époque des gilets jaunes, qui a été le déclencheur pour son passage à l’électrique.
Pas de One-Pedal mais…
« Avant, il me fallait au moins un V8 ou un V10 pour le son. Mais on s’habitue bien au silence, plus qu’au bruit : je n’aurais pas pensé. Surtout quand on rentre d’une journée de boulot avec une tête grosse comme ça », a avoué le professionnel de la route avec une gestuelle de circonstance.
Lors de l’essai, Max Freyss a interrogé Jean-Pierre sur la présence d’un dispositif de régénération qui permettrait de ralentir jusqu’à l’arrêt la Hyundai Ioniq électrique en levant seulement le pied de l’accélérateur.
Ce n’est pas le cas. Mais notre lecteur lui a montré une astuce : appuyer sur la palette de gauche (3 niveaux de régénération) derrière le volant. Il lui a aussi indiqué, qu’en utilisant le régulateur de vitesse adaptatif, sa voiture s’arrête lorsque le véhicule qui précède stoppe.
La berline électrique peut évoluer selon 4 modes de conduite : Sport, Normal, Eco, et Eco+. Avec ce dernier, « la vitesse est limitée à 90 km/h. Et ça éteint la clim : on va avoir chaud, et dans 5 minutes on va transpirer », a-t-il averti.
Modèle d’efficience
« En 2 ans, j’ai effectué plusieurs tests, tout le temps sur les mêmes trajets afin d’avoir des références. Ainsi ceux pour aller au boulot ou rejoindre ma copine. J’ai essayé avec le mode Eco – pleine régénération, sans régénération -, en Normal et en Sport : il n’y a pas de différences notables. Je vais être à 12 kWh/100 km en Eco, et 13 en Sport mais avec des performances bien supérieures », a-t-il chiffré.
Lors de l’essai avec notre journaliste, la consommation moyenne à une allure tranquille n’a pas dépassé les 12,2 kWh/100 km. « Je remets à zéro tous les mois. Sur 1 610 km parcourus depuis la dernière fois, j’ai 12,7 kWh/100 km. Et pourtant j’ai fait de l’autoroute pour aller à Francfort », a-t-il relevé.
« En fin de recharge, l’autonomie donnée par le véhicule est couramment de 310-315 km. J’ai noté que la voiture est même pessimiste dans ses estimations. Tant mieux : je préfère ça au contraire », s’est-il réjoui auprès de Max Freyss.
Voiture plaisir et voiture efficiente
En écoutant témoigner Jean-Pierre, Max Freyss a ressenti que la Hyundai Ioniq électrique peut tout autant jouer le rôle de voiture plaisir que de véhicule intéressant les adeptes d’une éco-conduite maximale.
« C’est l’avantage des électriques qui ont 2 visages. Ce que l’on n’a pas avec un modèle thermique. Une Volkswagen Polo 60 chevaux n’aura jamais un deuxième visage. Alors que là, on a autant le côté tranquille et zen, que le couple et les chevaux tout de suite à disposition », a abondé notre lecteur.
Il apprécie de pouvoir monter dans le véhicule avec une bonne température à bord, en déclenchant au besoin et à distance le chauffage l’hiver et la climatisation l’été. En revanche, il pointe la faiblesse de l’autonomie et de la recharge pour ses grands trajets. « Ça me dérange 5 ou 6 fois par an », a-t-il réfléchi.
« Le GPS, pour une voiture thermique, il serait bien, mais pour une électrique, c’est un peu de la daube », a-t-il lâché. C’est pourquoi il apprécie la compatibilité du système d’infodivertissement avec Android Auto et Apple CarPlay.
Une Hyundai Ioniq 6 ensuite ?
La Hyundai Ioniq 6 pour prochaine voiture électrique ? Il attend de la découvrir réellement, se méfiant de l’impression procurée en regardant seulement photos et vidéos. « Je voyais la Ioniq 5 comme une grosse Volkswagen Golf. Alors qu’en fait c’est un camion ! », s’est-il amusé. « À l’arrière, la Ioniq 6 fait penser à un mélange de Porsche ou Saab », a-t-il imaginé, en conclusion.
Toute la rédaction d’Automobile Propre remercie beaucoup Jean-Pierre pour sa disponibilité et son témoignage.
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